« Le Visage et le corps dans l’art d’aujourd’hui »
2000 Centre Culturel : Le Monastier
Edition de « Journal d’Artiste », « L’Homme à la couverture » - Editions Gaspasrd Nocturne, Romans
1999 Musée de Romans
Galerie Pre-Texte, Dieulefit
Espace Gaspard Nocturne, Romans
Espace Liberté, Crest
1997 Lyon : Palais des Congrès « 6 artistes 6 œuvres 6 jours »
1997 Prieuré de Manthes
1996 Lyon – Galerie Le Lutrin
1995/96 Exposition tournante collective « peintres et écrivains autour de la fontaine »
1994/95/96 Salon du Sud Est
1995 Biennale de Hauteville
1994 Valence – Conseil Général de la Drôme – « De l’esquisse à l’œuvre »
1994 Prieuré de Manthes
1993 Lyon – M.A.P.R.A.
1992 Prix Louis Hornung
1991 Grenoble – 1er Festival Music’Art – Musée du Dauphiné
1990/92 Bourg en Bresse – Ain – Galerie Lévy
1989/90 Lyon – Galerie de Lutrin
1989 Lyon – Salon du Sud Est
1988/89/90 Grenoble – Galerie J.C. David
1987/89/90 Hauteville Lompnès – Ain – Biennale
1987 Vichy – Allier – Maison de Lyon « Artistes en liberté », Octobre des Arts de Lyon
1986 Saint Etienne – Loire Paris – Finaliste de la fondation de la vocation
1984 Lyon, Francfort et Paris – Salon d’automne
1983 D.N.S.E.P, Prix de Paris 1983
2001, 2000, 1997, 1996, 1995, 1994 SALON DU SUD EST, Lyon
1998, 1995, 1990, 1989 Galerie LE LUTRIN, Lyon
« Ce n’est pas la première fois que j’expose mon travail là-bas, mais c’est peut-être la première fois que je prends pleinement conscience que cet espace fait partie de moi. Ces murs, couverts de cicatrices humaines sont déjà une exposition en soi. Donc difficile d’être à la hauteur ! Je vais cheminer dans ma propre histoire avec mes fusains, pastels, huiles…La chaise, compagne de mes solitudes rythmera ce chemin… de l’intérieur vers l’extérieur…présence et absence….celui ou celle juste partie laisse une trace comme le parfum voletant encore dans l’air…. »
Marie-France CHEVALIER
« Pour préserver ma simplicité, je suis revenu à la campagne. Chez moi, aucun tumulte du monde de poussière, les pièces vides. Laissent du loisir, Longtemps enfermé en cage, j’ai enfin pu revenir à ma nature. »
Tao Qian
« Depuis toujours, les murs de la maison familiale murmurent à mes oreilles le temps. La technique est certes un moyen de dire mais il y a autre chose, cet indicible qui parle au-delà de moi. Les intérieurs d’atelier côtoieront vanités, natures mortes, fenêtres crachant leur lumière crue qui nous feront basculer dans la lumière solaire de mon jardin. A l’ombre des vieux pommiers la chaise en plastique, vanité contemporaine attend. Je ne cherche pas mes sujets, ils sont là, devant moi. »
Marie-France CHEVALIER